<aside> 💡 Ceci est une réécriture du “Petit précis” de l’escroquerie en bande organisée autour de la société Qwant.
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Qwant est une SAS qui prétend depuis 2013 éditer et développer un moteur de recherche.
Il s’est avéré, dès sa sortie, qu’il s’agissait en fait d’une simple interface graphique de Bing ⇒ https://www.numerama.com/sciences/25137-qwant-n-est-pas-un-moteur-de-recherche-mais-une-interface.html
Qwant devait “mourir” en 2016, cependant grâce à un audit truqué réalisé en mai 2016, Qwant a pu survivre grâce à l’entrée de la Caisse des Dépôts et Consignations
pour un montant de 15m€, valorisant l’entreprise à hauteur de 75m€ sur la base d’une comparaison trompeuse avec un moteur de recherche (ce que Qwant n’était pas).
Qwant mentait sur ses réelles capacités en minorant l’usage de Bing, cachant une dépendance à 100% sur les recherches web multi langue (voir Hiatus BPI/CDC suite fraude au jugement à cet effet).
De plus, après l’audit, Qwant a encore modifié son code pour envoyer des informations non anonymisées à Bing, ce qui entrait en contradiction avec le schéma publicitaire de la société tel que plébiscité en 2019, date à laquelle j’ai porté plainte auprès de la CNIL pour avoir confirmation de l’envoi de données non-anonymisées, ceci afin d’ester en justice. 2019 Plainte contre Qwant auprès de la CNIL
Malheureusement pour moi, mon avocat ne m’a pas permis de faire sursoir le jugement des prud’hommes à la réponse de la CNIL, ce qui fait que j’ai par deux fois perdu aux prud’hommes, Qwant mentant sciemment dans ses conclusions et défenses ; de mon côté, j’avais le code source mais pas d’audit de ce code source, chose qui coûte cher :ce qui m’a amené à porter plainte auprès de la CNIL contre Qwant, CNIL qui a fait deux descentes chez Qwant.
5 années plus tard, j’ai enfin eu la réponse : j’avais raison.
Je peux donc maintenant me concentrer sur l’aspect pénal de l’affaire et traduire Qwant et ses comparses en justice pour escroquerie.