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La CNIL a fait deux descentes chez Qwant en 2019 pour y voir le code et avoir des explications. En 2019 Qwant envoyait l’IP complète mais ne le disait pas. Et a même commit une publicité ventant son respect de la vie privée.
On le sait car en 2020 quand ils ont mis à jour leurs CGU à la demande de la CNIL suite à ma plainte, c’est écrit qu’ils envoient l’IP complète à Microsoft.
Donc l’état de 2019 était PIRE que celui que je dénoncais de 2016 où seulement des données pseudo-anonymisées partaient.
Donc ma plainte a eu pour effet de démontrer qu’ils ont mentis y compris dans leur publicité de 2019 où ils se ventaient de ne pas traiter de données personnelles, et donc de ne pas les revendre.
Cependant, la CNIL ne m’a tenu informé de tout cela qu’en 2025. Donc je ne pouvais pas m’en servir pour me défendre dans la citation directe de 2018 (qui a été faite uniquement dans le but de me nuire, puisque vis de forme), ni aux prud’hommes en appel (2021 !), alors que cela m’aurait été bien utile ! Il y a une volonté manifeste de frauder la religion du juge (ici la CNIL) : fraude au jugement.
Par pure coincidence, Tristan NITOT travaillait à la CNIL ET à Qwant.
Donc en 2021, dans sa défense aux prud’hommes en Appel, ainsi que dans sa citation directe, Qwant a délibérément menti pour tromper la religion du juge : il s’agit de fraudes au jugement.
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Qwant ne peut parler d’anonymat quand il ne fait que pseudo-anonymiser les données. CQFD.
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